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Veuillez s.v.p. répondre aux questions suivantes avant le vendredi 26 janvier 2024.
Quelle est la problématique que vise à résoudre votre projet dans le domaine alimentaire ?
La problématique dans le domaine alimentaire au niveau des cantines scolaires réside d’abord dans le constat que la proportion des produits régionaux et saisonniers est encore loin d’être satisfaisante.
Puis, un deuxième constat est celui que le consommateur, en l’occurrence la jeunesse, n’est pas assez sensibilisé ni sur les avantages de la préférence de privilégier la production régionale, ni sur les avantages d’une consommation saine.
Un troisième constat enfin est que le consommateur ne s’aperçoit rarement de la corrélation entre une consommation régionale et saine et la durabilité dans le sens de la protection de la nature.
Quel est l’objectif principal de votre projet en lien avec la durabilité alimentaire et les Objectifs de Développement Durable (ODD) 2030 des Nations Unies ?
L’objectif principal est d’augmenter la proportion de produits issus de la production régionale dans notre cantine. En même temps nous visons une augmentation de la consommation de produits végétaux.
Ainsi nous réduisons les distances du transport, nous soutenons l’économie locale régional. Ceci aura un impact positif et sur la santé et sur l’environnement.
Dans un souci de garantir la durabilité, un deuxième objectif non moins important, est de sensibiliser par des actions concrètes les élèves aussi bien que les enseignants de notre lycée pour pérenniser le comportement de consommer des produits locaux.
Quels sont, selon vous, les principaux défis et lacunes du système alimentaire actuel ?
Le principal défi du système alimentaire actuel consiste à sensibiliser l’individu à la problématique de notre système alimentaire. L’individu doit être rendu conscient qu’une alimentation saine doit exclure de l’assiette journalière un certain nombre de produits mise en avant par la publicité.
Puis le deuxième défi est de convaincre l’individu de la qualité supérieure de certains produits et de faire le lien entre la consommation de ces produits et la santé du corps humain.
Enfin le troisième défi est celui du lien entre l’alimentation et la préservation de la nature. La consommation locale, la consommation de produits végétaux réduit les émissions de carbone liées à la production et au transport.
Quelle est votre proposition innovante pour un système alimentaire plus durable ? Décrivez-en les principaux éléments.
Nous proposons d’augmenter la proportion de produits issus de la production régionale dans notre cantine en contactant des producteurs locaux afin qu’ils nous fassent une liste de leurs produits ainsi que les prix respectifs. Puis nous présentons nos résultats aux responsables de notre cantine. Enfin nous sensibilisons la communauté scolaire aux choix alimentaires durables.
Les actions que nous mettons sur place sont
•
dans l’enceinte du lycée :
nous faisons des actions promotionnelles, à savoir la production d’un court métrage à la disposition de la communauté scolaire promouvant les plats à la cantine.
•
à l’extérieur :
nous organisons une visite auprès du producteur qui va livrer en fin de compte ses produits à notre cantine.
Avez-vous identifié des partenaires potentiels (organisations, entreprises, institutions) pour la mise en œuvre de votre projet ? Expliquez.
a. la direction de notre lycée
b. le responsable de la cantine avec son team
c. les producteurs locaux
d. les coachs
e. la communauté scolaire
f. Infino
Comment envisagez-vous de collaborer avec d’autres parties prenantes pour maximiser l’impact de votre projet ?
En premier lieu nous envisageons présenter notre projet dans la publication trimestrielle de notre lycée (« Trait d’Union »). Ainsi nous allons joindre d’un côté les parents / tuteurs des élèves ainsi que les forces vives de la nation.
En second lieu, nous espérons que le fait de donner accès aux jeunes de notre lycée à notre court métrage, ces derniers vous le faire partager avec leurs collègues des autres lycées.
En dernier lieu, en participant au concours proposé par Infino, nous comptons sur la médiatisation de l’événement pour maximiser l’impact de notre projet.
Quel est votre plan de mise en œuvre détaillé, y compris les étapes clés, les ressources financières et humaines nécessaires et les échéances ?
Durant les mois de septembre et d’octobre, nous avons travaillé en groupe pour nous fixer les objectifs et les grandes lignes du présent projet.
Au mois de novembre nous avons surtout travaillé avec la direction et l’équipe de cuisine pour intégrer leur point de vue.
En décembre des contacts ont été activés avec différents producteurs locaux.
Actuellement l’accent est surtout mis sur la sensibilisation des utilisateurs de la cantine : les élèves et les enseignants.
Nous sommes en train de réaliser un spot sur notre projet et nous organisons, pour fin avril une visite guidée pour les élèves auprès d’un de nos producteurs partenaires.
Entretemps nous avons reçu un devis pour notre visite: le prix de notre projet sera 494.40 €.
(voir document en annexe)
Comment comptez-vous évaluer l’impact de votre projet sur le système alimentaire ?
L’impact de notre projet pourra se mesurer dans un premier temps sur base des statistiques internes de notre cantine : consommation de plats se basant sur des produits régionaux.
Quels sont les principaux avantages et atouts de votre projet en termes de durabilité alimentaire ?
Premièrement notre projet ne s’occupe que des produits régionaux végétaux, donc on a clairement éliminé l’idée de la consommation de viande, qui est déjà a priori un très grand pollueur aussi bien de l’environnement que de la santé des consommateurs.
Deuxièmement, le fait d’opter de plus en plus pour des produits régionaux, on réduit les chemins de transport et par là les émissions de CO2.
Pourquoi votre projet devrait-il être sélectionné pour contribuer à un système alimentaire plus durable conforme ODD ?
Notre projet a le grand avantage d’intégrer un maximum d’acteurs. Nous soutenons la direction dans leur idée d’augmenter la consommation de produits régionaux et de réduire la consommation de viande. Mais ceci ne peut se faire sans intégrer l’acteur le
plus important : le consommateur final. On peut partir avec les meilleures intentions, si les élèves et les enseignants ne voient pas l’intérêt de telles mesures, on n’arrivera pas au résultat escompté. En plus nous nous attendons à un effet multiplicateur : le fait que les mentalités des acteurs dans le milieu scolaire changent, fait que ces personnes ramènent ces changements dans les foyers luxembourgeois et créent par-là quelque chose d’encore plus grand.
Quelle est la problématique que vise à résoudre votre projet dans le domaine alimentaire ?
La problématique dans le domaine alimentaire au niveau des cantines scolaires réside d’abord dans le constat que la proportion des produits régionaux et saisonniers est encore loin d’être satisfaisante.
Puis, un deuxième constat est celui que le consommateur, en l’occurrence la jeunesse, n’est pas assez sensibilisé ni sur les avantages de la préférence de privilégier la production régionale, ni sur les avantages d’une consommation saine.
Un troisième constat enfin est que le consommateur ne s’aperçoit rarement de la corrélation entre une consommation régionale et saine et la durabilité dans le sens de la protection de la nature.
Quel est l’objectif principal de votre projet en lien avec la durabilité alimentaire et les Objectifs de Développement Durable (ODD) 2030 des Nations Unies ?
L’objectif principal est d’augmenter la proportion de produits issus de la production régionale dans notre cantine. En même temps nous visons une augmentation de la consommation de produits végétaux.
Ainsi nous réduisons les distances du transport, nous soutenons l’économie locale régional. Ceci aura un impact positif et sur la santé et sur l’environnement.
Dans un souci de garantir la durabilité, un deuxième objectif non moins important, est de sensibiliser par des actions concrètes les élèves aussi bien que les enseignants de notre lycée pour pérenniser le comportement de consommer des produits locaux.
Quels sont, selon vous, les principaux défis et lacunes du système alimentaire actuel ?
Le principal défi du système alimentaire actuel consiste à sensibiliser l’individu à la problématique de notre système alimentaire. L’individu doit être rendu conscient qu’une alimentation saine doit exclure de l’assiette journalière un certain nombre de produits mise en avant par la publicité.
Puis le deuxième défi est de convaincre l’individu de la qualité supérieure de certains produits et de faire le lien entre la consommation de ces produits et la santé du corps humain.
Enfin le troisième défi est celui du lien entre l’alimentation et la préservation de la nature. La consommation locale, la consommation de produits végétaux réduit les émissions de carbone liées à la production et au transport.
Quelle est votre proposition innovante pour un système alimentaire plus durable ? Décrivez-en les principaux éléments.
Nous proposons d’augmenter la proportion de produits issus de la production régionale dans notre cantine en contactant des producteurs locaux afin qu’ils nous fassent une liste de leurs produits ainsi que les prix respectifs. Puis nous présentons nos résultats aux responsables de notre cantine. Enfin nous sensibilisons la communauté scolaire aux choix alimentaires durables.
Les actions que nous mettons sur place sont
•
dans l’enceinte du lycée :
nous faisons des actions promotionnelles, à savoir la production d’un court métrage à la disposition de la communauté scolaire promouvant les plats à la cantine.
•
à l’extérieur :
nous organisons une visite auprès du producteur qui va livrer en fin de compte ses produits à notre cantine.
Avez-vous identifié des partenaires potentiels (organisations, entreprises, institutions) pour la mise en œuvre de votre projet ? Expliquez.
a. la direction de notre lycée
b. le responsable de la cantine avec son team
c. les producteurs locaux
d. les coachs
e. la communauté scolaire
f. Infino
Comment envisagez-vous de collaborer avec d’autres parties prenantes pour maximiser l’impact de votre projet ?
En premier lieu nous envisageons présenter notre projet dans la publication trimestrielle de notre lycée (« Trait d’Union »). Ainsi nous allons joindre d’un côté les parents / tuteurs des élèves ainsi que les forces vives de la nation.
En second lieu, nous espérons que le fait de donner accès aux jeunes de notre lycée à notre court métrage, ces derniers vous le faire partager avec leurs collègues des autres lycées.
En dernier lieu, en participant au concours proposé par Infino, nous comptons sur la médiatisation de l’événement pour maximiser l’impact de notre projet.
Quel est votre plan de mise en œuvre détaillé, y compris les étapes clés, les ressources financières et humaines nécessaires et les échéances ?
Durant les mois de septembre et d’octobre, nous avons travaillé en groupe pour nous fixer les objectifs et les grandes lignes du présent projet.
Au mois de novembre nous avons surtout travaillé avec la direction et l’équipe de cuisine pour intégrer leur point de vue.
En décembre des contacts ont été activés avec différents producteurs locaux.
Actuellement l’accent est surtout mis sur la sensibilisation des utilisateurs de la cantine : les élèves et les enseignants.
Nous sommes en train de réaliser un spot sur notre projet et nous organisons, pour fin avril une visite guidée pour les élèves auprès d’un de nos producteurs partenaires.
Entretemps nous avons reçu un devis pour notre visite: le prix de notre projet sera 494.40 €.
(voir document en annexe)
Comment comptez-vous évaluer l’impact de votre projet sur le système alimentaire ?
L’impact de notre projet pourra se mesurer dans un premier temps sur base des statistiques internes de notre cantine : consommation de plats se basant sur des produits régionaux.
Quels sont les principaux avantages et atouts de votre projet en termes de durabilité alimentaire ?
Premièrement notre projet ne s’occupe que des produits régionaux végétaux, donc on a clairement éliminé l’idée de la consommation de viande, qui est déjà a priori un très grand pollueur aussi bien de l’environnement que de la santé des consommateurs.
Deuxièmement, le fait d’opter de plus en plus pour des produits régionaux, on réduit les chemins de transport et par là les émissions de CO2.
Pourquoi votre projet devrait-il être sélectionné pour contribuer à un système alimentaire plus durable conforme ODD ?
Notre projet a le grand avantage d’intégrer un maximum d’acteurs. Nous soutenons la direction dans leur idée d’augmenter la consommation de produits régionaux et de réduire la consommation de viande. Mais ceci ne peut se faire sans intégrer l’acteur le
plus important : le consommateur final. On peut partir avec les meilleures intentions, si les élèves et les enseignants ne voient pas l’intérêt de telles mesures, on n’arrivera pas au résultat escompté. En plus nous nous attendons à un effet multiplicateur : le fait que les mentalités des acteurs dans le milieu scolaire changent, fait que ces personnes ramènent ces changements dans les foyers luxembourgeois et créent par-là quelque chose d’encore plus grand.